Souffle en mon cœur un vent d’Italie…
Les photos aux murs convoquent des souvenirs cinéphiles en noir et blanc; la bibliothèque, malgré un silence étouffé entre les pages des livres, laisse à peine entrevoir les murmures des couverts et des verres qui s’entrechoquent en bas dans le restaurant ; les couleurs s’évadent des ingrédients de la cuisine…les commandes s’envolent telles des papillons ou des papillotes… c’est selon.
C’est souvent la course au Curiel… mais récréative, sinon rien…































































